Eveil des enfants pendant les vacances: Jour-J

Jeudi, 9h : le con…cierge nous annonce qu’il ne nous ouvrira pas au cas où Maxime ne viendrait pas (au secours Maxime ! reviens de Suisse, vite !). Du coup, à la recherche d’un plan B :

- bâtiment Botanique : fermé

- bâtiment Sciences Nat : la concierge vient juste de passer la serpillère, on n’insiste pas vu les regards qu’elle nous lance.

- bâtiment Chimie : la concierge nous dit que tous les salles sont fermées, mais que l’on peut se mettre dans le couloir du sous-sol : Victoire !!!

Reste plus qu’à convaincre le concierge de nous laisser prendre nos costumes. Il accepte (encore heureux), mais voilà qu’il insiste pour savoir pourquoi « Le Beltran » n’est pas là. Co…. ! Nous v’là avec notre bordel sur les bras, on récupère Ronan qui fait r’ouvrir le local, et on part s'installer au sous-sol de chimie. Un peu lugubre, mais mieux chauffé que la salle habituelle comme le fait remarquer Carole.

Carole et Emilie se lancent à fond dans le plumage de la volaille (euh, pardon : de Keevee).

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Fanny m’aide à tailler les plumes de mes ailes.

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P’tit déj, pendant qu’avec Fanny on travaille sur ordi un « patron » de la robe.

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Ronan fait une coupe à son lion pour récupérer du chanvre, et essaie le masque, nous on a la paix, on comprend rien de ce qu’il dit avec.

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Appel au secours de Carole, car il n’y a plus de colle néoprène, heureusement que les chefs ont fait les courses !

Je pars chercher ma trousse de couture avec Fanny, on commence à couper dans tout les sens le drap blanc.

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Pause déjeuner, Ronan nous laisse en plan. Tandis pour lui, il n’aura pas de tiramisu !

Après le repas, Carole (sur les conseils d’Emilie) arrive enfin à se baisser sans décoller les talons (photos à l’appuie).

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Je continue la robe avec Fanny, puis on part en expédition au local récupérer, du chanvre, des tuyaux et de la mousse.

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15h30: la femme de ménage nous fait comprendre qu’on n’est pas les bienvenus, on lui promet de nettoyer de tout façon on va bientôt arrêter.

Branle-bas de combat pour tout ranger. (15 minutes montre en main). Impossible par contre de faire partir l'odeur de néoprène répandue dans tout le couloir.

On se retrouve à attendre le concierge qui n’en finit pas de se faire attendre. Finalement voyant l’averse arriver, on range les costumes, on referme, puis dispersion générale. Manque de pot je croise le concierge,vite un petit mensonge pour expliquer comment on a pu ranger les costumes, et il nous invite très aimablement à revenir demain, avec Maxime bien sûr. Ben voyons !!!